L’embryon Seriez-vous prêtsA encenser l’insensé ?Celui susurréDu « Oui » direCirculant çà et làNon sous un manteauMais bien plutôtDans l’acheminerAfin qu’il réchauffeDoucement ? Seriez-vous prêtsA secouer vos vieuxArtifices ?A cesser de circulerDe leurres en leurresDans votre espace-tempsPrécipice ? Seriez-vous prêtsA cesser de ricanerTout en serpentantSournoisementPrêts à envenimerLes non-dressésA vos rendements ? Seriez-vous prêtsA verser des larmesEn ayant laisséVos lourds fardeauxChoir dans le ruisseauAfin qu’ils soient là-bas,Tout là-bas,Au bout de l’oubliAncrés dans l’histoireComme une épave noireSur laquelleLe nom ne se lit plus ? Je n’ai pas la réponseCar le choix vous appartientC’est à vous d’ouvrir votreDemainAfin d’y voir verséLe plus pur des refrainsEntonné par la joieOu continuer à le fermerAvec le pointPour combattre inutilementLa vraie Foi.