C'osmose

C’Osmose

Etoiles,

Myriades de myriades

Au-delà de l’infini

Réel autrement dit

Monde des Mondes

La lumière abonde

Je suis

Au seuil de mon voyage

Devant moi la prestance

De ces horizons déployés

Auxquels seul le Silence

Peut lui murmurer le Chant

Des possibles

Hors de portée

Le temps est si dérisoire

Quand on est face

A l’éternité,

Celle-là même comme germe

Dans le tréfonds des hommes

Qui s’agglutinent

Et s’assomment

Dans leurs déraisons

Empoisonneuses,

Pesanteur des pesanteurs

Dire que l’homme

Pense être évolué.

J’arpente ces splendeurs

Avec la joie

Découvrant ma Co-Naissance

Avec cet Amour-loi.

Ici les siècles

Sont les outils

Du Sculpteur,

Dans son atelier

Qu’est la Création.

L’écheveau des lois

Pèse sur trop d’épaules

Auxquelles un soupçon de foi

Soigne les douleurs

Tant de bateaux

Encore à quai

D’océans jamais parcourus

De vallées et montagnes

De chemins en vue

Pour grandir la joie

Du pèlerin

Appuyé sur son bâton

Le regard de pureté

Vers ces contrées à aimer

Au-delà de là

Bien d’autres réalités ?

10.09.21

Date de dernière mise à jour : 11/09/2021

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Commentaires

  • Cocault

    1 Cocault Le 11/09/2021

    Tu es un vrai poète Michel et tu as ta place parmi les grands.
    Bravo !
    Gilbert
  • PATRICK MARTELLO

    2 PATRICK MARTELLO Le 11/09/2021

    bien

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