Certitude de l’Oubli Des restes de lune encore endiablésEncore lumières et toujours vivantsSecoués de rires, attirés d’AimantLa joie trop puissante a bien éclaté Laissant les autres dans leur ciel étoiléAlpha du Centaure au sourire figéMasi quel est donc ce joli rireVenu du Nid des Dieux ? Le cheval s’ébroueDans la cour de l’ONUEnvoyé par les anges vers les hommesPour leur botter le cul Ils se sont enfin réveillésOnt brûlé leur HistoireEn grand feu d’oubliLes flammes se font des cendresPour monter vers la Vie. Chiites et sunnitesEt autres courantsCathos ultrasEt ultras scatoFont le dos rondLa Vie est écriteIl faut franchir Sa porteLe Monde est r’éveilléMême face aux grandes gueulesNe faisons pas la fine boucheIl n’est jamais trop tardIl n’est jamais trop tôtQuand le Nouveau MondeS’unit à la DestinéeLes pourparlers de paixSont des rouleaux de PQA la fausse sceptiqueLes derniers mots idiotsLe Silence est cadeauEt n’est point emballéC’est l’être qui doit l’êtreChaque jour est à s’aimer. Pégase secoue ses ailesIl a encore du boulotIl rejoint son CielLes anges sont là-hautQui ont encore en magasinDes papiers des petits motsD’anciens et de nouveauxComme Pythagore et son oralReliant l’homme au DivinEt plus de doute pour DescartesIl baigne dans la Certitude absolueEt veut l’Humanité heureuse et bienvenueDans cette aura de lumière.Il y en a d’autres, des enfants et des mèresMais de les citer à longueurs de minutesVous ferait perdre du tempsPour profiter du Silence installéEt de l’horizon qui vous scrute,Il attend votre pas, votre voyageVers lui et d’autres connaissancesEt écarte ses points cardinauxOffrant sans pudeurSa grandeur dénudéePour votre lumière à y semer.