Un perceptible Si le silenceVous pouviez en analyserLe contenantCar rien n’est videIl y a toujoursQuelque énergieA la fois derrièreA la fois devantEt même au cœurDu non-temps. Si les cris de souffranceVous pouviezEn analyser le raisonnementAu lieu de rester des clochesQui résonnent creuxCar de bien peuVous dites c’est suffisant. Ces souffrances sont des âmesTrop longtemps enchaînéesEt qui veulent à présentLibérer cet AmourLibérer la libertéDu GesteEt de l’AimantCet Amour trop longtemps retenuCet Amour trop dedans. Si vos paroles inutilesVous pouviez les relireEn faisant quelques pasEn arrièreEt en regardant la roueDe vos réflexionsTourner dans sa cageDans laquelle vos miettesRestantes et séchéesVous suffisent à votre aviditéDe peur d’une autre réalité. Si vos places haut placéesEt maladroitementPlacées beauVous pouviez leur donnerLa vraie valeurQu’elles méritentCe ne volerait pas hautEt ce ne serait qu’un piteux remèdeUn mauvais médicament. Si la brume sur l’étangTremble un peuDu vol de l’oiseauQui l’embrasse Si la lumière du soleilTraverse les frondaisonsPour désigner de ses rayonsLe sol d’une Terre pas encore bleueCar toujours ecchymoseDe vos pas de vieux jeux Dame Nature est à la foisUne simple roseQui s’écartèle dans le ventEt un grand arbre silencieuxEnracinant son espritAve force et envieEt perçant les nuéesPour remercier la VieEt vous n’êtes encoreQue de petits gnomesArmés de vos déraisons.Réapprenez à aimerC’est la seule façonDe construireUne nouvelle Maison. - Ne serais-tu pas un peu sévèreAvec tous ces mots ? - Comment puis-je faire autrementPour heurter leur ego ? 12 mai 2011