Karma Il a cassé le vase de SoissonsC’est dans toutes les mémoiresDes filles et des garçonsQui connaît son nom ? Ils cassent l’HumanitéCe n’est dans les mémoiresQu’aprèsEt marbré monumentalementMais qui connaît leur nom ?Seulement ceux que l’on peut lireCar ils sont gravésMais vite oubliés. Il y en a que l’on connaîtCà et là éparpillésDans la jungle de leurs négationsCachés et ourdissantDe sanglantes actions.Toutes ces aberrationsNe s’anéantissent pasA grands coups de décretsMais avec quelques milliers de mainsEmpoignéesAvec le sourireQui doit les souligner. Si l’histoire est un éternelRecommencement,Alors il faut recommencer l’HistoirePour parler d’éternité. On ne triche pas avec la VieMais avec soi-mêmeEt le poids ainsi portéEst le bât qui blesse autantLe fomenteur de négationsQu’il tue les innocents. L’utopie est de croireQue notre réalité est une raisonAlors que c’est une déraisonCréée par notre utopie. Un soir, par colère ou ennui,Ou les deux à la foisJ’irai dans la forêtQu’il pleuve, neige ou venteEt poserai la questionPourquoi ?La réponse je l’auraiElle ne sera pas colère,Ni mots couvertsElle sera UniversDe silences et de raisons. La mort est un visage mystérieuxMais la vie aussiEt le mystère de la vieN’est pas dans la mortQui soi-disant la finitMais dans la LoiIndicibleDe continuer à forgerL’être Grand :L’être Aimer ; Ce texte écritNe sera jamais fini :Il veut tout commencer